oeil de la toile les reclamait a grand cris donc les voicis
parodies de chansons faites pour vampire la mascarade
on a fait ca a deux, mais essayez de chanter ca en pleine partie, ca devrait derider les personnes presentes.
Moi, je vois, tout ceux qui dominent
Tous ceux d'en bas,toutes ces vermines
Tous ces jeunes cons, avides et serviles
Mais pas un seul d'eux, ne semble etre lucide.
Moi, je vais ou cela me chante
Ma non vie , ne serait pas si marrante
Si j'écoutais, ceux qui ont l'pouvoir
Même si mon aura, risque quelques stries
Laissez moi diabler, laissez moi
Laissez pomper les vieux en liberté , tous les tuer
Laissez moi diabler laissez moi
Allez jusqu'au bout, qu'ils crevent.
Moi , je ris, je savoure le risque
Je suis cruel, bien pire que le fisc.
Je taxe, je suce, je bouffe et j'aspire
A n'en plus finir, tous ces bons vampires.
Je n'fais pas cas de ceux qui debitent
Que c'n'est pas une bonne ligne de conduite
Je decide seul, c'est ma raison d'être
De mieux me repaittre de toutes leurs vies.
Laissez moi diabler, laissez moi
Laissez pomper les vieux en liberté , tous les tuer
Laissez moi diabler laissez moi
allez jusqu'au bout, qu'ils crevent
Laissez moi diabler, laissez moi
Laissez pomper les vieux en liberté , tous les tuer
Laissez moi diabler laissez moi
Allez jusqu'au bout, qu'ils crevent
et voici la deuxieme
mais faut replonger dans le contexte. cette parodie fut commencer lors d'une partie ou nous etions chargé de mission par Henri, goule de François Villon.
tout le long du scenard Henri nous recontactais pour savoir comment on avancais, il nous rappellait, prenait des nouvelles.
au final ca donne ca:
Je m'presente, je m'appelle Henri
J'suis la goule du prince de Paris, son ami
Je suis beau et inteligent
Et surtout je suis tres puissant
Mais c'que j'voudrais, c'est devenir vampire a plein temps
j'suis qu'une goule, mais celle d'un ancien
Ceux qui m'gonflent , j'leur retourne bien tourne bien
On m'appelle quand ca tourne pas rond
Quand il va y 'avoir d'la baston
Ca fait parler dans les soirée de monsieur Villon
Et partout dans la rue
je veux baffer du ventrue
et au fin fond des bois
j'veux latter du brujah
exploser les gangrel
dans les petites ruelles
Pour tout l'elysium
Devenir une idole
J'veux que toutes les nuits
J'sois la star de Paris
Pour avoir aplatis
Le plus vieux des marquis
Puis apres j'me f'rai du Sabbat
Moncada se proternera devant moi
Je tuerais deux cent milles personnes
En une nuit, que nul ne s'en etonne
En triomphe, on me port'ra a bout de bras
Et partout dans la rue
Je veux baffer du ventrue
Et au fin fond des bois
J'veux latter du brujah
Exploser les gangrel
Dans les petites ruelles
Puis quand j'en aurai assez
De rester leur idole
Je depouillerais Villon
Cette espece de grande folle
Et d'un grand coup de pieu
J'lui ferai mes adieux
Et puis l'année d'après
Je recommencerai
Et puis l'année d'après
Je recommencerai
Je le prostiturai
Pour toute l'eternité
Les nouveaux de la cour
Diront que j'suis félé
Et peut-etre qu'a leur tour
Ils voudront m'arretter
Me pendre haut et cour
Et voire meme me diabler
Mais moi je serais vieux
Et experimenté
Ie descendrais tout ceux
Qui viendront m'emmerder
Par le feu, par le pieu
Pour leur faire regretter
Pour leur faire regretter