Nom: Danse-avec-le-Ver
Race : Metis
Auspice: Théurge
Tribu: Enfants-de-Gaïa
Rang : Cliath
Age apparent: 19 ans
loup/humain: 7
Description physique: Son physique assez vigoureux et athlétique ne semble pas en adéquation avec son auspice et sa tribu. Ce à quoi il répond généralement ceci: "Mort, on ne peut plus sauver personne". Sa corne unique et imposante sur son front trahit sa parentée, mais il est loin de se lamenter à ce sujet, bien au contraire: il retire une certaine fierté de ce trait propre aux Licornes. Son oeil droit est d'un vert assez pâle, tandis que le gauche, quand il n'est pas caché, luit d'un blanc laiteux trahissant sa cécité et est baré d'une cicatrice en diagonale. Quand à ses cheveux plutôt longs, ils arborent une teinte d'un blond-vénitien donnant une impression de calme sur son visage.
Sous forme crinos, Danse-avec-le-Ver revet un pelage brun-roux presque net de blessure. En effet, même si il sait se battre, son rayon d'action est plus celui des rites de vie et de mort. De plus, venant de la tribu des Enfants de Gaïa, les rares blessures bénignes qu'il a pu recevoir au court de sa brève existence ont bénéficié d'un soin rapide et efficace. Sa seule cicatrice barre son oeil gauche en diagonale.
Attitude: Assez posé, il préfère éviter de faire entrer la meute dans une situation de conflit, ou du moins de la provoquer ou de la faire provoquer par la meute: il préfère que l'ennemi engage les hostilités pour se pardonner le fait d'ôter la vie. Diplomate, il tente généralement de disculper les membres de sa meute lorsqu'il arrive qu'ils commettent des bourdes, parfois en oubliant de mentionner une partie de la vérité ou en insistant sur les raisons profondes et parfaitement justifiables qui ont poussé la meute à se compromettre. Mais dans l'idéal, il aimerait qu'elle ne se compromette jamais.
Expert en rites de passages, qu'ils soient de baptème, de première blessure, d'entrée dans la meutes ou funéraires (même si il aimerait ne jamais avoir eu à le pratiquer). Sa deuxième spécialité reste cependant le soin qu'il pratique quand même plus souvent que les rites.